C’est le cas notamment pour des panés dont la part de poisson est inférieure à 50 %, ce qui est regrettable. Concernant la façon dont les quantités de poisson sont indiquées sur les étiquettes, des progrès sont notables depuis notre enquête de 2014. Mais des efforts sont encore attendus, notamment sur les panés.
Dans les produits transformés, l’utilisation de filets de poisson est rare (hormis dans les plats préparés et les panés) puisqu’elle ne concerne que 24 % des 237 références de notre échantillon. Le plus souvent, la matière première est de la chair de poisson que l’on retrouve dans les surimis, les parmentiers et dans la plupart des croquettes et rillettes de poisson.
Or, malgré nos demandes auprès des pouvoirs publics, il y a deux ans, ce terme n’est toujours pas défini. Par ailleurs, pour de nombreux produits, exceptés pour les surimis, les étiquettes n’indiquent pas s’il s’agit de filet ou de chair.
Globalement, les panés destinés aux enfants semblent de moins bonne qualité que les autres : ils contiennent moins souvent de filet (30 % au lieu de 52 %) et sont sensiblement moins riches en poisson (et donc en protéines) du fait de l’ajout notamment de purée de pommes de terre ou du fromage. En outre, ils sont aussi un peu plus riches en sel, sucre et matières grasses saturées. Il est inadmissible que les enfants ne puissent pas bénéficier de produits de qualité au moins équivalente à celle des autres références.
CLCV - 2016-06-01
Dans les produits transformés, l’utilisation de filets de poisson est rare (hormis dans les plats préparés et les panés) puisqu’elle ne concerne que 24 % des 237 références de notre échantillon. Le plus souvent, la matière première est de la chair de poisson que l’on retrouve dans les surimis, les parmentiers et dans la plupart des croquettes et rillettes de poisson.
Or, malgré nos demandes auprès des pouvoirs publics, il y a deux ans, ce terme n’est toujours pas défini. Par ailleurs, pour de nombreux produits, exceptés pour les surimis, les étiquettes n’indiquent pas s’il s’agit de filet ou de chair.
Globalement, les panés destinés aux enfants semblent de moins bonne qualité que les autres : ils contiennent moins souvent de filet (30 % au lieu de 52 %) et sont sensiblement moins riches en poisson (et donc en protéines) du fait de l’ajout notamment de purée de pommes de terre ou du fromage. En outre, ils sont aussi un peu plus riches en sel, sucre et matières grasses saturées. Il est inadmissible que les enfants ne puissent pas bénéficier de produits de qualité au moins équivalente à celle des autres références.
CLCV - 2016-06-01
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