
Une canicule est définie par Météo-France comme « un épisode de températures élevées, de jour comme de nuit, sur une période prolongée ». Elle correspond à la vigilance « orange » dans les cartes destinées au grand public - le jaune est réservé aux pics de chaleur, le rouge à une canicule extrême (définie par son ampleur temporelle et géographique, et ses risques sanitaires et sociaux).
Moins connu, le seuil de déclenchement de l’alerte canicule varie lui d’un département à l’autre ; les diverses régions de France étant plus ou moins habituées et donc adaptées à la chaleur, les seuils d’alerte ne sont pas les mêmes partout.
Cette notion de « seuil d’alerte » n’existait pas avant la canicule de 2003. Suite à cet événement qui a causé près de 15 000 morts, les autorités sanitaires et Météo France ont travaillé conjointement afin d’anticiper les vagues de chaleur les plus dangereuses pour la population.
Lors d’une vague de chaleur, certains facteurs sont susceptibles d’aggraver l’impact sanitaire, comme la pollution de l’air - en particulier par l’ozone et les particules fines - et l’humidité, plus difficile à supporter par le corps humain. L’intensité de la vague de chaleur est définie à partir de l’écart entre la valeur de l’indicateur et le seuil d’alerte. Mais, comment définir ce seuil ?
Le passage d’orange à rouge est notamment lié à l’observation d’autres indicateurs que la seule température comme les départs de feux, la sécheresse des sols, mais aussi la fréquentation des services de soins. Là encore, il varie sur le territoire, détaille Météo-France
Source - Le Monde
Moins connu, le seuil de déclenchement de l’alerte canicule varie lui d’un département à l’autre ; les diverses régions de France étant plus ou moins habituées et donc adaptées à la chaleur, les seuils d’alerte ne sont pas les mêmes partout.
Cette notion de « seuil d’alerte » n’existait pas avant la canicule de 2003. Suite à cet événement qui a causé près de 15 000 morts, les autorités sanitaires et Météo France ont travaillé conjointement afin d’anticiper les vagues de chaleur les plus dangereuses pour la population.
Lors d’une vague de chaleur, certains facteurs sont susceptibles d’aggraver l’impact sanitaire, comme la pollution de l’air - en particulier par l’ozone et les particules fines - et l’humidité, plus difficile à supporter par le corps humain. L’intensité de la vague de chaleur est définie à partir de l’écart entre la valeur de l’indicateur et le seuil d’alerte. Mais, comment définir ce seuil ?
Le passage d’orange à rouge est notamment lié à l’observation d’autres indicateurs que la seule température comme les départs de feux, la sécheresse des sols, mais aussi la fréquentation des services de soins. Là encore, il varie sur le territoire, détaille Météo-France
Source - Le Monde
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