1/ Sur le covoiturage courte distance (domicile-travail), on constate les résultats suivants :
- Il représentait, en 2008, 2,5 % des déplacements,
- Il se substitue en grande majorité à des déplacements effectués seul en voiture, et très peu à des déplacements en transport collectif, ce qui engendre un gain environnemental (émissions de pollutants et de CO2) conséquent,
- Les principales motivations mises en avant sont le gain financier, et la recherche de lien social
- Les principaux freins identifiés sont la contrainte horaire, la difficulté de trouver un covoitureur et l’incertitude du trajet retour,
4 principaux facteurs de succès d’une politique de covoiturage ont pu être identifiés :
- Le choix d’une échelle territoriale cohérente et la collaboration entre collectivités territoriales,
- La communication et l’animation pour faire connaître le covoiturage et donner envie d’essayer,
- Un outil de mise en relation efficace,
- Des aménagements pour faciliter et encourager la pratique, en particulier la constitution d’un réseau d’aires de covoiturage et demain peut-être des voies réservées sur autoroute.
Etude nationale sur le covoiturage de courte distance
2/ Sur le covoiturage longue distance, on constate les résultats suivants :
- Le profil des covoitureurs se diversifie.
- Comme attendu, la principale raison avancée pour pratiquer le covoiturage est la dimension économique. La convivialité est la 2ème raison la plus citée.
- La majorité des destinations sont des aires urbaines de plus de 200 000 habitants, mais le covoiturage permet également de se rendre dans des communes rurales peu desservies par les transports en commun.
- L’impact du covoiturage est assez faible sur le nombre de kilomètres parcourus en voiture particulière.
- Le covoiturage a peu d’impact sur l’évolution de la motorisation des ménages
- Le covoiturage permet de diminuer les frais de déplacement des conducteurs et peut donc les encourager à se déplacer plus souvent.
Etude nationale sur le covoiturage de longue distance
3/ Autopartage entre particuliers
Cette enquête vise à mieux identifier les usagers et leurs usages de l’autopartage entre particuliers, ainsi que d’en mesurer les éventuels impacts de celui-ci sur leur mobilité.
Les objectifs de cette étude sont :
- d’obtenir des connaissances sur les usagers de l’autopartage entre particuliers
- de mesurer l’évolution de l’équipement en véhicules et des comportements de mobilité des usagers, de déterminer si cette forme d’autopartage entraîne un gain environnemental et le cas échéant de le quantifier ;
- de mettre en lumière les freins et leviers pour le développement des services d’autopartage entre particuliers.
Enquête nationale sur l’autopartage entre particuliers
Ademe - Dossier complet - 2015-09-11
- Il représentait, en 2008, 2,5 % des déplacements,
- Il se substitue en grande majorité à des déplacements effectués seul en voiture, et très peu à des déplacements en transport collectif, ce qui engendre un gain environnemental (émissions de pollutants et de CO2) conséquent,
- Les principales motivations mises en avant sont le gain financier, et la recherche de lien social
- Les principaux freins identifiés sont la contrainte horaire, la difficulté de trouver un covoitureur et l’incertitude du trajet retour,
4 principaux facteurs de succès d’une politique de covoiturage ont pu être identifiés :
- Le choix d’une échelle territoriale cohérente et la collaboration entre collectivités territoriales,
- La communication et l’animation pour faire connaître le covoiturage et donner envie d’essayer,
- Un outil de mise en relation efficace,
- Des aménagements pour faciliter et encourager la pratique, en particulier la constitution d’un réseau d’aires de covoiturage et demain peut-être des voies réservées sur autoroute.
Etude nationale sur le covoiturage de courte distance
2/ Sur le covoiturage longue distance, on constate les résultats suivants :
- Le profil des covoitureurs se diversifie.
- Comme attendu, la principale raison avancée pour pratiquer le covoiturage est la dimension économique. La convivialité est la 2ème raison la plus citée.
- La majorité des destinations sont des aires urbaines de plus de 200 000 habitants, mais le covoiturage permet également de se rendre dans des communes rurales peu desservies par les transports en commun.
- L’impact du covoiturage est assez faible sur le nombre de kilomètres parcourus en voiture particulière.
- Le covoiturage a peu d’impact sur l’évolution de la motorisation des ménages
- Le covoiturage permet de diminuer les frais de déplacement des conducteurs et peut donc les encourager à se déplacer plus souvent.
Etude nationale sur le covoiturage de longue distance
3/ Autopartage entre particuliers
Cette enquête vise à mieux identifier les usagers et leurs usages de l’autopartage entre particuliers, ainsi que d’en mesurer les éventuels impacts de celui-ci sur leur mobilité.
Les objectifs de cette étude sont :
- d’obtenir des connaissances sur les usagers de l’autopartage entre particuliers
- de mesurer l’évolution de l’équipement en véhicules et des comportements de mobilité des usagers, de déterminer si cette forme d’autopartage entraîne un gain environnemental et le cas échéant de le quantifier ;
- de mettre en lumière les freins et leviers pour le développement des services d’autopartage entre particuliers.
Enquête nationale sur l’autopartage entre particuliers
Ademe - Dossier complet - 2015-09-11
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