La faible part des modes actifs est ainsi notamment due à l’absence ressentie de place pour ces modes dans l’espace public, rendant les déplacements à vélo et à pied perçus comme difficiles et dangereux.
Le développement de l’usage des modes actifs, vélo et marche, participe à répondre à ces différents enjeux en termes de santé publique, d’environnement, de cohésion sociale et d’attractivité territoriale. Les acteurs publics ont des cartes à jouer dans ce développement, via des actions pragmatiques, simples et participatives, qui visent non seulement les comportements individuels mais aussi la qualité des espaces publics…
CEREMA - Note - Avril 2016
Le développement de l’usage des modes actifs, vélo et marche, participe à répondre à ces différents enjeux en termes de santé publique, d’environnement, de cohésion sociale et d’attractivité territoriale. Les acteurs publics ont des cartes à jouer dans ce développement, via des actions pragmatiques, simples et participatives, qui visent non seulement les comportements individuels mais aussi la qualité des espaces publics…
CEREMA - Note - Avril 2016
Dans la même rubrique
-
Doc - Zones de rencontre : le Cerema accompagne Toulouse Métropole pour comprendre les difficultés des personnes handicapées
-
Actu - MMUST : un outil d’aide à la décision en matière de mobilité transfrontalière
-
Actu - Fonds social pour le climat : la Commission européenne publie ses recommandations sur le volet visant à lutter contre la précarité en matière de transport
-
Actu - Les Talents de la marche et du vélo sont de retour !
-
Actu - Suppression des ZFE : un recul pour la transition écologique, la santé publique et les mobilités