
Si trop de ménages vivent encore dans l’insalubrité , la part des logements sans salle de bain ou toilettes a beaucoup diminué, de 39 % en 1973 à moins de 1 % aujourd’hui. Entre 2004 et 2019, la part de logements jugés bruyants a diminué de 24 % à 18 %. Même si les évolutions sont lentes, on rénove et on construit des logements de meilleure qualité.
Pour autant, la mauvaise qualité de l’habitat persiste, avec des logements situés aux abords de sources de bruits importants, mal insonorisés, mal ventilés et dotés d’un système de chauffage ancien, parfois très coûteux.
Ces améliorations masquent aussi des écarts énormes selon le niveau de vie.
Les 20 % les plus aisés sont trois fois moins nombreux que les plus modestes (6 % contre 19 %) à vivre dans un logement qu’ils jugent humide
OBS des Inégalités >> Etude complète
Pour autant, la mauvaise qualité de l’habitat persiste, avec des logements situés aux abords de sources de bruits importants, mal insonorisés, mal ventilés et dotés d’un système de chauffage ancien, parfois très coûteux.
Ces améliorations masquent aussi des écarts énormes selon le niveau de vie.
Les 20 % les plus aisés sont trois fois moins nombreux que les plus modestes (6 % contre 19 %) à vivre dans un logement qu’ils jugent humide
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