
Le Parlement et le Conseil ont conclu un accord provisoire sur le Fonds social européen+ qui contribue à l’inclusion sociale, à la création d’emploi et à la lutte contre la pauvreté.
Le nouveau FSE+, qui fait partie du cadre financier pluriannuel pour 2021-2027, s'élèvera à 87 995 milliards d'euros en prix de 2018.
Soutenir la jeunesse et les enfants menacés de pauvreté
Selon l’accord, les États membres où le nombre d’enfants à haut risque de pauvreté dépasse la moyenne européenne devront consacrer au minimum 5% des ressources du FSE+ à des mesures contribuant à un accès égal des enfants à des soins de santé gratuits, à une éducation gratuite, à des services de garde d'enfants gratuits, à un logement décent et à une alimentation adéquate. Par ailleurs, les autres États membres devront allouer une partie de leurs fonds à la lutte contre la pauvreté infantile.
Tous les États membres devront s’attaquer au chômage des jeunes dans leurs programmes de dépenses - un problème qui s’est aggravé avec la crise du COVID-19. Dans les pays où le nombre de jeunes qui ne travaillent pas, qui ne suivent pas d’études ou ne sont pas en formation actuellement (taux de NEET) dépasse la moyenne européenne, 12,5% des fonds seront consacrés à la lutte contre le chômage des jeunes. Ces mesures pourront aller de l’enseignement et la formation professionnelle, en particulier les stages, à la transition entre les études et la vie professionnelle.
Aider ceux qui en ont le plus besoin
Le Parlement a négocié un budget dédié à la lutte contre la pauvreté extrême dans chaque État membre. Au moins 3% seront consacrés à ceux qui en ont le plus besoin via une aide alimentaire et une assistance matérielle de base, ou à la lutte contre la privation matérielle, définie comme l’incapacité à payer les dépenses imprévues, un chauffage adéquat, des repas nutritifs et des biens durables.
Autres mesures conclues
25% des fonds seront alloués à l’inclusion sociale, notamment l’intégration socioéconomique des groupes désavantagés.
- Un financement adéquat est prévu pour le renforcement des capacités des partenaires sociaux dans les États membres.
- Des garanties sont mises en places pour assurer que les projets financés par les fonds de l’UE respectent pleinement les droits fondamentaux
Source >> Parlement Européen
Le nouveau FSE+, qui fait partie du cadre financier pluriannuel pour 2021-2027, s'élèvera à 87 995 milliards d'euros en prix de 2018.
Soutenir la jeunesse et les enfants menacés de pauvreté
Selon l’accord, les États membres où le nombre d’enfants à haut risque de pauvreté dépasse la moyenne européenne devront consacrer au minimum 5% des ressources du FSE+ à des mesures contribuant à un accès égal des enfants à des soins de santé gratuits, à une éducation gratuite, à des services de garde d'enfants gratuits, à un logement décent et à une alimentation adéquate. Par ailleurs, les autres États membres devront allouer une partie de leurs fonds à la lutte contre la pauvreté infantile.
Tous les États membres devront s’attaquer au chômage des jeunes dans leurs programmes de dépenses - un problème qui s’est aggravé avec la crise du COVID-19. Dans les pays où le nombre de jeunes qui ne travaillent pas, qui ne suivent pas d’études ou ne sont pas en formation actuellement (taux de NEET) dépasse la moyenne européenne, 12,5% des fonds seront consacrés à la lutte contre le chômage des jeunes. Ces mesures pourront aller de l’enseignement et la formation professionnelle, en particulier les stages, à la transition entre les études et la vie professionnelle.
Aider ceux qui en ont le plus besoin
Le Parlement a négocié un budget dédié à la lutte contre la pauvreté extrême dans chaque État membre. Au moins 3% seront consacrés à ceux qui en ont le plus besoin via une aide alimentaire et une assistance matérielle de base, ou à la lutte contre la privation matérielle, définie comme l’incapacité à payer les dépenses imprévues, un chauffage adéquat, des repas nutritifs et des biens durables.
Autres mesures conclues
25% des fonds seront alloués à l’inclusion sociale, notamment l’intégration socioéconomique des groupes désavantagés.
- Un financement adéquat est prévu pour le renforcement des capacités des partenaires sociaux dans les États membres.
- Des garanties sont mises en places pour assurer que les projets financés par les fonds de l’UE respectent pleinement les droits fondamentaux
Source >> Parlement Européen
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