
A quelques jours d’aller élire leurs édiles, les Français expriment à leur égard une forte demande d’actions favorisant la constitution de nouvelles solidarités.
Alors que le concept de fracture générationnelle fait florès depuis plusieurs années, près de deux Français sur trois (64%) en appellent à la responsabilité du maire pour créer des activités favorisant l’émergence de nouvelles solidarités notamment entre les générations. Une opinion plus partagée par les habitants de l’agglomération parisienne (74%) que par ceux des communes rurales (54%), où l’existence d’autres types de solidarités familiales, de voisinage ou associatives assure un maillage plus dense du lien social.
De surcroît, plus d’un Français sur deux (57%) se déclare personnellement disposé à participer à des activités favorisant de nouvelles solidarités dans sa commune ou son quartier. Cet élan d’engagement solidaire est là encore plus fort dans l’agglomération parisienne (66%), où le tissu social est davantage atomisé, que dans les communes rurales (53%).
S’agissant des publics auxquels les maires devraient prioritairement consacrés leurs actions de solidarité, les Français expriment une forte demande de politique de protection tournée vers les publics les plus fragiles. En particulier vers les personnes en situation de grande précarité et sans domicile (41% de citations), les personnes âgées isolées (35%), et les personnes handicapées ou dépendantes (29%).
IFOP - Etude complète - 2020-03-10
Alors que le concept de fracture générationnelle fait florès depuis plusieurs années, près de deux Français sur trois (64%) en appellent à la responsabilité du maire pour créer des activités favorisant l’émergence de nouvelles solidarités notamment entre les générations. Une opinion plus partagée par les habitants de l’agglomération parisienne (74%) que par ceux des communes rurales (54%), où l’existence d’autres types de solidarités familiales, de voisinage ou associatives assure un maillage plus dense du lien social.
De surcroît, plus d’un Français sur deux (57%) se déclare personnellement disposé à participer à des activités favorisant de nouvelles solidarités dans sa commune ou son quartier. Cet élan d’engagement solidaire est là encore plus fort dans l’agglomération parisienne (66%), où le tissu social est davantage atomisé, que dans les communes rurales (53%).
S’agissant des publics auxquels les maires devraient prioritairement consacrés leurs actions de solidarité, les Français expriment une forte demande de politique de protection tournée vers les publics les plus fragiles. En particulier vers les personnes en situation de grande précarité et sans domicile (41% de citations), les personnes âgées isolées (35%), et les personnes handicapées ou dépendantes (29%).
IFOP - Etude complète - 2020-03-10
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