
Réalisé à la demande de la Direction générale des infrastructures, des transports et de la mer (DGITM), cet ouvrage apporte un éclairage sur la mobilité des résidents des villes moyennes.
Cela, aux trois échelles que sont l’aire urbaine, l’agglomération et la ville-centre, afin de répondre aux questions suivantes :
- Quelle est la place de l’aire urbaine au sein de l’armature régionale ?
- L’agglomération facilite-t-elle la mobilité de l’ensemble des catégories de population ?
- Dans quelle mesure la ville-centre structure-t-elle au jour le jour les déplacements des habitants ?
La publication est structurée en trois parties qui correspondent aux trois échelles d’analyse :
1. L’aire urbaine
2. L'agglomération
3. Les villes-centres
Malgré l’hétérogénéité de la catégorie des villes moyennes, cette étude permet d’identifier des éléments communs :
- La desserte de ces territoires en transport collectif est complexe. Repenser les réseaux de transports en intégrant l’ensemble des besoins de la population, en incluant des solutions de mobilité active et partagées, est une piste de réflexion pour les territoires.
- Les touristes, qu’ils soient visiteurs d’un jour ou d’une semaine, pour des raisons professionnelles ou personnelles, représentent un atout, même si cela varie d’une ville à l’autre. Favoriser l’intermodalité pour les visiteurs, en permettant l’accès à moyenne et longue distances des villes moyennes, en les inscrivant dans les réseaux régionaux, comme nationaux, représente un enjeu.
- Les villes-centres des agglomérations de taille intermédiaire structurent leur bassin de vie et concentrent encore énormément d’enjeux, notamment en matière d’émissions de gaz à effet de serre. Toute la difficulté d’une politique de mobilité à cette échelle consiste à intégrer les enjeux de vitalité commerciale en combinant une facilité d’accès (entre autres, par une politique de stationnement adaptée) avec des espaces publics de qualité, favorables à l’apaisement de la circulation et au plaisir de la déambulation.
- Le vélo, dont on a vu qu’il trouvait toute sa pertinence dans ces densités intermédiaires, est l’atout-maître des villes moyennes, le seul mode alternatif pour lequel elles semblent l’emporter sur les grandes agglomérations.
CEREMA - Analyse complète - 2019-01-29
Cela, aux trois échelles que sont l’aire urbaine, l’agglomération et la ville-centre, afin de répondre aux questions suivantes :
- Quelle est la place de l’aire urbaine au sein de l’armature régionale ?
- L’agglomération facilite-t-elle la mobilité de l’ensemble des catégories de population ?
- Dans quelle mesure la ville-centre structure-t-elle au jour le jour les déplacements des habitants ?
La publication est structurée en trois parties qui correspondent aux trois échelles d’analyse :
1. L’aire urbaine
2. L'agglomération
3. Les villes-centres
Malgré l’hétérogénéité de la catégorie des villes moyennes, cette étude permet d’identifier des éléments communs :
- La desserte de ces territoires en transport collectif est complexe. Repenser les réseaux de transports en intégrant l’ensemble des besoins de la population, en incluant des solutions de mobilité active et partagées, est une piste de réflexion pour les territoires.
- Les touristes, qu’ils soient visiteurs d’un jour ou d’une semaine, pour des raisons professionnelles ou personnelles, représentent un atout, même si cela varie d’une ville à l’autre. Favoriser l’intermodalité pour les visiteurs, en permettant l’accès à moyenne et longue distances des villes moyennes, en les inscrivant dans les réseaux régionaux, comme nationaux, représente un enjeu.
- Les villes-centres des agglomérations de taille intermédiaire structurent leur bassin de vie et concentrent encore énormément d’enjeux, notamment en matière d’émissions de gaz à effet de serre. Toute la difficulté d’une politique de mobilité à cette échelle consiste à intégrer les enjeux de vitalité commerciale en combinant une facilité d’accès (entre autres, par une politique de stationnement adaptée) avec des espaces publics de qualité, favorables à l’apaisement de la circulation et au plaisir de la déambulation.
- Le vélo, dont on a vu qu’il trouvait toute sa pertinence dans ces densités intermédiaires, est l’atout-maître des villes moyennes, le seul mode alternatif pour lequel elles semblent l’emporter sur les grandes agglomérations.
CEREMA - Analyse complète - 2019-01-29
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