
Auditionnée par les sénateurs, la ministre de l’Education nationale assume les 470 suppressions de postes, dont plus de 100 rien qu’à Paris, justifiées à ses yeux par la baisse de la démographie et les priorités qu’elle entend financer, comme l’école inclusive.
C’est devant les sénateurs de la commission de la culture et de l’éducation, avant les députés demain, que la ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Elisabeth Borne, a présenté ce mardi la vision qu’elle porte de son action.
Alors que les enseignants des écoles parisiennes étaient appelés à la grève, ce mardi, pour dénoncer les fermetures de classes, l’ex-première ministre n’a pu que constater que la question interpellait sur tout le territoire. Plusieurs sénateurs, de tous départements, ont en effet multiplié les interpellations sur ce sujet sensible.
Au sommaire
« Dire qu’il n’y a plus de suppressions de postes et à côté de ça, dire aux maires qu’on va fermer des classes, c’est difficilement entendable »
« Sur les 470 suppressions de postes prévues à l’échelon national, 198 qui sont prévues à Paris »
« Il peut y avoir des ouvertures à certains endroits et des fermetures à d’autres » souligne Elisabeth Borne
« Les brigades de remplacement ont été beaucoup fragilisées, notamment au moment où on a fait le dédoublement des classes »
« Le taux d’encadrement à Paris est le plus élevé de la France hexagonale » rétorque la ministre
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C’est devant les sénateurs de la commission de la culture et de l’éducation, avant les députés demain, que la ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Elisabeth Borne, a présenté ce mardi la vision qu’elle porte de son action.
Alors que les enseignants des écoles parisiennes étaient appelés à la grève, ce mardi, pour dénoncer les fermetures de classes, l’ex-première ministre n’a pu que constater que la question interpellait sur tout le territoire. Plusieurs sénateurs, de tous départements, ont en effet multiplié les interpellations sur ce sujet sensible.
Au sommaire
« Dire qu’il n’y a plus de suppressions de postes et à côté de ça, dire aux maires qu’on va fermer des classes, c’est difficilement entendable »
« Sur les 470 suppressions de postes prévues à l’échelon national, 198 qui sont prévues à Paris »
« Il peut y avoir des ouvertures à certains endroits et des fermetures à d’autres » souligne Elisabeth Borne
« Les brigades de remplacement ont été beaucoup fragilisées, notamment au moment où on a fait le dédoublement des classes »
« Le taux d’encadrement à Paris est le plus élevé de la France hexagonale » rétorque la ministre
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