"Les villes et les régions ont fourni aux réfugiés des abris, de la nourriture, des services de santé et une aide sociale, souvent sans soutien et sans coordination avec les autorités nationales. Elles ont assumé une responsabilité disproportionnée pour fournir une assistance d'urgence, en coordination avec les groupes de bénévoles et les ONG", déclare le Secrétaire général du CCRE, Frédéric Vallier.
"Le CCRE et ses membres regrettent que cette importante contribution ne soit pas suffisamment reconnue par les États membres et que, dans le cadre des mécanismes de financement existants de l'UE, aucune ressource spécifique n'ait été mise de côté pour relever de manière adéquate ces défis au niveau local et régional. Nous appelons les institutions européennes à mettre en place les mesures nécessaires pour s’assurer que les mécanismes de financement existants atteignent ceux qui en ont le plus besoin".
Avant le processus de révision du cadre financier pluriannuel de l’UE en 2016, nous appelons à une répartition plus équilibrée de la part du budget de l'UE consacrée à l'asile, la migration et l'intégration, et plus concrètement, que davantage de ressources soient allouées aux mesures d'intégration au niveau local et régional….
CCRE - 2015-12-18
http://www.ccre.org/fr/actualites/view/3188
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