
On tend à l’oublier, et pourtant : la planète est en activité géologique constante. Pas seulement à travers les spectacles terrifiants du volcanisme et des séismes, mais également à travers l’érosion et la sédimentation .
Des mécanismes dont l’eau est un vecteur et qui sont tellement banals qu’on leur prête peu d’attention, sauf peut-être lorsqu’il est question du recul du trait de côte. Ou lorsque des événements météorologiques soudains occasionnent inondations, crues torrentielles ou glissements de terrain.
Comme le 22 juin dernier, où la crue du Vénéon a emporté le hameau de la Bérarde et a isolé le village de Saint-Christophe-en-Oisans, en Isère. De quoi rappeler que les différentes modalités de chute d’eau (pluie, grêle ou neige) façonnent en permanence les paysages, parfois violemment.
Les régions montagneuses en sont fréquemment le siège. On peut se rappeler de l’éboulement d’août 2023 en Maurienne qui avait bloqué l’autoroute A43 , ou, plus récemment, de pluies torrentielles qui on fait des ravages en Suisse et en Italie .
S’agissant de la catastrophe de la Bérarde, certains scientifiques incriminent la fonte des glaciers . Quoi qu’il en soit, le dénominateur commun de ces catastrophes reste l’existence de pentes : quelle que soit leur taille : toutes les régions sont concernées, en particulier celles aménagées par l’espèce humaine car elles ne résultent pas d’un équilibre dynamique, mais d’un forçage .
Au sommaire
Comment l’eau grignote peu à peu les roches
Des mécanismes identiques des Alpes aux Ardennes
L’indispensable adaptation au risque naturel
Source The Conversation
Des mécanismes dont l’eau est un vecteur et qui sont tellement banals qu’on leur prête peu d’attention, sauf peut-être lorsqu’il est question du recul du trait de côte. Ou lorsque des événements météorologiques soudains occasionnent inondations, crues torrentielles ou glissements de terrain.
Comme le 22 juin dernier, où la crue du Vénéon a emporté le hameau de la Bérarde et a isolé le village de Saint-Christophe-en-Oisans, en Isère. De quoi rappeler que les différentes modalités de chute d’eau (pluie, grêle ou neige) façonnent en permanence les paysages, parfois violemment.
Les régions montagneuses en sont fréquemment le siège. On peut se rappeler de l’éboulement d’août 2023 en Maurienne qui avait bloqué l’autoroute A43 , ou, plus récemment, de pluies torrentielles qui on fait des ravages en Suisse et en Italie .
S’agissant de la catastrophe de la Bérarde, certains scientifiques incriminent la fonte des glaciers . Quoi qu’il en soit, le dénominateur commun de ces catastrophes reste l’existence de pentes : quelle que soit leur taille : toutes les régions sont concernées, en particulier celles aménagées par l’espèce humaine car elles ne résultent pas d’un équilibre dynamique, mais d’un forçage .
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