CLAMEUR présente le recueil des loyers de marché récemment observés dans plus de 4 500 villes, regroupements de communes et pays de plus de 2 500 habitants (DOM compris, mais hors Mayotte).
Parmi les indicateurs commentés : le niveau et l’évolution de la vacance locative, les loyers des logements neufs mis en location, l’évolution des loyers en cas de relocation.
- Les loyers des nouveaux baux, conclus dans le secteur locatif privé en France en 2014, ont augmenté de 1 % sur un an, c’est-à-dire à peine plus que l’inflation (0,5 %). Depuis le début de cette année, la baisse est de 0,9 %.
- 29 % des appartements ont changé d’occupants sur les premiers mois de l’année 2015, contre 27 % en 2014 et 26,7 % en 2013.
- Avec 30 % de mobilité, le marché est fluide: les locataires, qui cherchent un logement, ont souvent eux-mêmes libéré une place.
- Les durées de relocation entre deux occupants atteignent 7,8 semaines, soit 1,7 semaine de plus qu’en 2013, soit une perte annuelle de recettes de 4,3 % pour les bailleurs.
- Les bailleurs sans perspectives de revalorisation des loyers sont de plus en plus réticents à engager des travaux. Leur effort d’amélioration ne concerne que 12 % des logements à l’occasion d’un changement de locataire, contre 32 % en 2012.
CLAMEUR - 2015-03-10
Parmi les indicateurs commentés : le niveau et l’évolution de la vacance locative, les loyers des logements neufs mis en location, l’évolution des loyers en cas de relocation.
- Les loyers des nouveaux baux, conclus dans le secteur locatif privé en France en 2014, ont augmenté de 1 % sur un an, c’est-à-dire à peine plus que l’inflation (0,5 %). Depuis le début de cette année, la baisse est de 0,9 %.
- 29 % des appartements ont changé d’occupants sur les premiers mois de l’année 2015, contre 27 % en 2014 et 26,7 % en 2013.
- Avec 30 % de mobilité, le marché est fluide: les locataires, qui cherchent un logement, ont souvent eux-mêmes libéré une place.
- Les durées de relocation entre deux occupants atteignent 7,8 semaines, soit 1,7 semaine de plus qu’en 2013, soit une perte annuelle de recettes de 4,3 % pour les bailleurs.
- Les bailleurs sans perspectives de revalorisation des loyers sont de plus en plus réticents à engager des travaux. Leur effort d’amélioration ne concerne que 12 % des logements à l’occasion d’un changement de locataire, contre 32 % en 2012.
CLAMEUR - 2015-03-10
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