
La qualité de l’air que nous respirons est aussi vitale que l’eau que nous buvons.
Elle est une composante essentielle de notre bien-être, un déterminant majeur de notre santé publique, et un enjeu environnemental crucial. Chaque année, la pollution atmosphérique — notamment les particules fines et le dioxyde d’azote — provoque près de 40 000 décès prématurés et contribue à l’essor de maladies chroniques graves.
Elle affecte particulièrement les plus vulnérables d’entre nous, qui n’ont pas toujours les moyens d’accéder aux solutions les moins polluantes.
Si des progrès notables ont été enregistrés — comme la baisse moyenne de 31 % des concentrations de dioxyde d’azote entre 2017 et 2023 dans les grandes agglomérations — nous sommes encore loin des recommandations de l’Organisation mondiale de la santé. L’urgence sanitaire et environnementale nous impose donc de renforcer nos efforts, à la fois à l’échelle nationale et locale.
Les élus locaux jouent un rôle déterminant dans cette dynamique.
Ils connaissent les réalités de terrain, savent adapter leurs réponses aux spécificités de leurs territoires et agissent dans le respect du cadre légal. Il est essentiel de leur faire confiance, de les soutenir et de leur donner les moyens d’agir efficacement.
À travers des actions coordonnées, fondées sur la science et animées par un impératif de justice sociale, nous devons bâtir un avenir où chaque citoyen pourra respirer un air sain. Car c’est bien là un droit fondamental que nous devons garantir à toutes et tous.
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Elle est une composante essentielle de notre bien-être, un déterminant majeur de notre santé publique, et un enjeu environnemental crucial. Chaque année, la pollution atmosphérique — notamment les particules fines et le dioxyde d’azote — provoque près de 40 000 décès prématurés et contribue à l’essor de maladies chroniques graves.
Elle affecte particulièrement les plus vulnérables d’entre nous, qui n’ont pas toujours les moyens d’accéder aux solutions les moins polluantes.
Si des progrès notables ont été enregistrés — comme la baisse moyenne de 31 % des concentrations de dioxyde d’azote entre 2017 et 2023 dans les grandes agglomérations — nous sommes encore loin des recommandations de l’Organisation mondiale de la santé. L’urgence sanitaire et environnementale nous impose donc de renforcer nos efforts, à la fois à l’échelle nationale et locale.
Les élus locaux jouent un rôle déterminant dans cette dynamique.
Ils connaissent les réalités de terrain, savent adapter leurs réponses aux spécificités de leurs territoires et agissent dans le respect du cadre légal. Il est essentiel de leur faire confiance, de les soutenir et de leur donner les moyens d’agir efficacement.
À travers des actions coordonnées, fondées sur la science et animées par un impératif de justice sociale, nous devons bâtir un avenir où chaque citoyen pourra respirer un air sain. Car c’est bien là un droit fondamental que nous devons garantir à toutes et tous.
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