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Ce rapport du HCFEA revisite la promesse de bienvenue aux enfants dans la société et au monde.
Tous les observateurs, familles et spécialistes s’accordent sur le constat que les enfants et les adolescents se replient sur l’intérieur et le virtuel. Alors comment leur ouvrir à tous les portes de la ville, les chemins de la nature, et le plaisir de se sentir bien, avec d’autres à l’air libre ? Comment renouer le pacte intergénérationnel dans l’organisation de la Cité, avec un grand C ? Faire société ?
Le HCFEA propose dans ce nouveau rapport du Conseil de l’enfance et de l’adolescence de poser les éléments d’un projet d’inclusivité du dehors. D’abord parce qu’une ville plus accueillante envers les enfants, leur vitalité, leur diversité et leur fragilité, où ils sont les bienvenus, depuis le coin de la rue, au quotidien, et jusqu’à la découverte progressive d’un ailleurs véritablement « dépaysants », est une éthique de la transmission d’une génération à celle qui lui survivra. Ensuite parce qu’une ville incluant la nature au quotidien, adaptée aux enfants, le sera aussi pour tous. C’est une reconnaissance de l’importance du lien social, et des interactions entre un environnement de vie quotidienne et un écosystème plus vaste dont la qualité est notre bien commun et ressort d’une coresponsabilité des institutions et des citoyens.
Source - HCFEA
Tous les observateurs, familles et spécialistes s’accordent sur le constat que les enfants et les adolescents se replient sur l’intérieur et le virtuel. Alors comment leur ouvrir à tous les portes de la ville, les chemins de la nature, et le plaisir de se sentir bien, avec d’autres à l’air libre ? Comment renouer le pacte intergénérationnel dans l’organisation de la Cité, avec un grand C ? Faire société ?
Le HCFEA propose dans ce nouveau rapport du Conseil de l’enfance et de l’adolescence de poser les éléments d’un projet d’inclusivité du dehors. D’abord parce qu’une ville plus accueillante envers les enfants, leur vitalité, leur diversité et leur fragilité, où ils sont les bienvenus, depuis le coin de la rue, au quotidien, et jusqu’à la découverte progressive d’un ailleurs véritablement « dépaysants », est une éthique de la transmission d’une génération à celle qui lui survivra. Ensuite parce qu’une ville incluant la nature au quotidien, adaptée aux enfants, le sera aussi pour tous. C’est une reconnaissance de l’importance du lien social, et des interactions entre un environnement de vie quotidienne et un écosystème plus vaste dont la qualité est notre bien commun et ressort d’une coresponsabilité des institutions et des citoyens.
Source - HCFEA
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