Depuis sa création, ce Baromètre a caractérisé trois périodes :
2009 - 2013 : la prédominance incontestée des magazines de collectivités et de la télévision dans le mix de l’information locale ;
2013 - 2020 : l’émergence d’internet et l’arrivée des réseaux sociaux dans les pratiques, sans remplacer pour autant les magazines des collectivités, mais au détriment de la télé locale ;
Depuis 2020 : l’usage simultané et majoritaire d’une dizaine de canaux différents, dominés par les magazines, le bouche-à-oreille et les sites internet des collectivités.
Un nouvel équilibre du mix média de l’information locale.
Nous n’assistons pas à la victoire d’une technologie sur une autre ni au remplacement d’usages anciens par d’autres plus récents mais plutôt à un équilibre des pratiques reposant à la fois sur le papier (fiabilité), le numérique (praticité) et l’oralité (proximité et personnalisation).
Le bouche-à-oreille, première modalité utilisée par les Français pour s’informer localement
Les échanges avec les habitants constituent la première modalité que les Français déclarent mobiliser pour s’informer sur la vie locale en 2024 (76 %).
Ce « bouche à oreille » est présent en haut du tableau de notre Baromètre depuis son origine en 2009. Il a toujours suivi la courbe de l’utilisation du magazine de la collectivité avec des écarts très faibles.
Si en 2020 il avait conquis la première place du podium, c’était, pensait-on, à la faveur de la crise sanitaire. Cette année, il prend la première place d’une courte tête dans un contexte « normal ».
L’occasion de s’interroger sur une modalité majeure mais sur laquelle les communicants publics ont peu de prise si ce n’est en l’alimentant par l’ensemble des autres médias proposés.
EPICEUM - Téléchargement des résultats 2024
2009 - 2013 : la prédominance incontestée des magazines de collectivités et de la télévision dans le mix de l’information locale ;
2013 - 2020 : l’émergence d’internet et l’arrivée des réseaux sociaux dans les pratiques, sans remplacer pour autant les magazines des collectivités, mais au détriment de la télé locale ;
Depuis 2020 : l’usage simultané et majoritaire d’une dizaine de canaux différents, dominés par les magazines, le bouche-à-oreille et les sites internet des collectivités.
Un nouvel équilibre du mix média de l’information locale.
Nous n’assistons pas à la victoire d’une technologie sur une autre ni au remplacement d’usages anciens par d’autres plus récents mais plutôt à un équilibre des pratiques reposant à la fois sur le papier (fiabilité), le numérique (praticité) et l’oralité (proximité et personnalisation).
Le bouche-à-oreille, première modalité utilisée par les Français pour s’informer localement
Les échanges avec les habitants constituent la première modalité que les Français déclarent mobiliser pour s’informer sur la vie locale en 2024 (76 %).
Ce « bouche à oreille » est présent en haut du tableau de notre Baromètre depuis son origine en 2009. Il a toujours suivi la courbe de l’utilisation du magazine de la collectivité avec des écarts très faibles.
Si en 2020 il avait conquis la première place du podium, c’était, pensait-on, à la faveur de la crise sanitaire. Cette année, il prend la première place d’une courte tête dans un contexte « normal ».
L’occasion de s’interroger sur une modalité majeure mais sur laquelle les communicants publics ont peu de prise si ce n’est en l’alimentant par l’ensemble des autres médias proposés.
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