
Conscients de leurs risques et de ceux qui pèsent sur leurs collectivités, ils font face à des responsabilités croissantes liées aux enjeux de société actuels.
47 % des élus ont le sentiment d’avoir une bonne culture du risque
À mi-mandat, les élus font face à une actualité particulièrement chargée, ce qui rendait crucial de les interroger, ainsi que les DGS/DGA. Un total de 565 d'entre eux ont répondu à nos questions, offrant des enseignements précieux.
Les 5 tendances de l'étude :
- Satisfaction des élu·e·s
- Risques naturels et climatiques, un enjeu prioritaire
- Formation et information
- Agression des élu·e·s une donnée croissante
- Conflits d’intérêts, un sujet mal maîtrisé
Un bilan positif qui prouve l’investissement durable des acteurs publics locaux
80 % des répondants dressent un bilan positif de leur mandat, un chiffre qui reste stable par rapport aux résultats 2021. Il est même jugé très positif par un acteur sur 10. Et nous remarquons un engagement durable puisque 58 % des élus locaux ont déjà effectué plus d’un mandat.
La culture du risque un enjeu prioritaire sous-estimé
Selon les répondants, 47 % d’entre eux estiment avoir une bonne culture du risque et pour autant 71 % ne se sentent pas assez formés pour faire face aux risques qui menacent leurs territoires. Des chiffres qui soulignent le besoin de renforcer les programmes de formation à la préparation à la prévention et la gestion des risques.
La réalité des agressions des élu·e·s
Les chiffres révèlent que 64 % des répondants ont déjà été confrontés à une forme d’agression de la part d’un de leurs administrés. Mais 76 % d’entre eux ont renoncé à déposer plainte à la suite de leur agression.
Les conflits d’intérêts, un sujet mal maîtrisé
37 % des répondants estiment que leur exposition aux conflits d'intérêts est mineure. Quand une grande majorité, soit 56 % des acteurs publics, ne se sentent pas adéquatement informés sur les procédures de prévention des conflits d'intérêts
Infopro digital - Etude pour le Courrier des maires et SMACL Assurances
Kit de l'élu - Exercer son mandat en toute sérénité
SMACL Assurances
47 % des élus ont le sentiment d’avoir une bonne culture du risque
À mi-mandat, les élus font face à une actualité particulièrement chargée, ce qui rendait crucial de les interroger, ainsi que les DGS/DGA. Un total de 565 d'entre eux ont répondu à nos questions, offrant des enseignements précieux.
Les 5 tendances de l'étude :
- Satisfaction des élu·e·s
- Risques naturels et climatiques, un enjeu prioritaire
- Formation et information
- Agression des élu·e·s une donnée croissante
- Conflits d’intérêts, un sujet mal maîtrisé
Un bilan positif qui prouve l’investissement durable des acteurs publics locaux
80 % des répondants dressent un bilan positif de leur mandat, un chiffre qui reste stable par rapport aux résultats 2021. Il est même jugé très positif par un acteur sur 10. Et nous remarquons un engagement durable puisque 58 % des élus locaux ont déjà effectué plus d’un mandat.
La culture du risque un enjeu prioritaire sous-estimé
Selon les répondants, 47 % d’entre eux estiment avoir une bonne culture du risque et pour autant 71 % ne se sentent pas assez formés pour faire face aux risques qui menacent leurs territoires. Des chiffres qui soulignent le besoin de renforcer les programmes de formation à la préparation à la prévention et la gestion des risques.
La réalité des agressions des élu·e·s
Les chiffres révèlent que 64 % des répondants ont déjà été confrontés à une forme d’agression de la part d’un de leurs administrés. Mais 76 % d’entre eux ont renoncé à déposer plainte à la suite de leur agression.
Les conflits d’intérêts, un sujet mal maîtrisé
37 % des répondants estiment que leur exposition aux conflits d'intérêts est mineure. Quand une grande majorité, soit 56 % des acteurs publics, ne se sentent pas adéquatement informés sur les procédures de prévention des conflits d'intérêts
Infopro digital - Etude pour le Courrier des maires et SMACL Assurances
Kit de l'élu - Exercer son mandat en toute sérénité
SMACL Assurances
Dans la même rubrique
-
Juris - Biens vacants : rappel du caractère extinctif du délai de trente ans pour la présentation à la succession
-
Circ. - Réforme de l’apostille et de la légalisation des actes publics français - FAQ
-
Juris - Obligation de signaler à une personne son droit de rester silencieuse - Non-application aux enquêtes administratives des agents de la CNIL
-
Juris - Ecriture inclusive - La CAA valide l’'usage d'une forme abrégée dans l'intitulé d'un titre ou d'une fonction visant à faire apparaître sa forme féminine
-
Doc - Actes des collectivités territoriales : quels contrôles de légalité entre 2019 et 2021 ?